La croissance des réseaux sociaux en 2015

Les réseaux sociaux n’ont toujours pas atteint leurs limites, il faut en être conscients.

Avec leur développement sans cesse croissant, ils restent plus que jamais un outil primordial pour le marketing, lui-même digital.

Regard sur quelques chiffres pour s’en persuader.

1 - Une cible grandissante

Les marketeurs, les community managers, trouvent là une cible parfaite pour leurs stratégies. Il ne peut pas y avoir de campagne commerciale sans utilisation de la viralité de ces réseaux sociaux.

Lorsque l’on découvre qu’une personne sur deux utilise internet, qu’une sur deux possède un smartphone et qu’une sur trois est active sur les réseaux sociaux et, le plus souvent, avec son smartphone, on comprend l’ampleur de la cible que l’on peut trouver ici.

Et, loin de ralentir, malgré cette présence déjà énorme, la progression des personnes utilisant les réseaux est exponentielle.

2 - L’attrait incontestable des réseaux sociaux

Au premier rang, Facebook, bien que souvent décrié, conserve tout son attrait. Il faut dire que ce réseau sait se remettre constamment en question et attirer aussi bien les particuliers que les professionnels

Et, au-delà de Facebook, les utilisateurs toujours plus nombreux à chaque seconde qui s’écoule, tendent à se tourner également vers de nouvelles applications, telles que WhatsApp, encore plus génératrices d’échange et d’instantanéité.

Conclusion :

Cette tendance constante à la hausse des réseaux sociaux n’est certainement pas prête à s’arrêter et, régulièrement, de nouveaux concepts apparaissent, comme a su le faire Twitter, pour convaincre de nouveaux adeptes, avec des modèles encore plus dynamiques, plus rapides, moins durables. On pourrait ajouter que les internautes passent en moyenne, 4 h 25 mn, en connexion. Plus de temps passé donc, mais aussi plus d’interactivité, c’est avant tout l’échange qui est recherché et, de plus en plus, ce sont les services de messagerie comme WhatsApp, Facebook Messenger ou WeChat qui gagnent des parts de marché.